Histoire de la BA 136

 

L’histoire de la BA 136 a fait l’objet de la parution de plusieurs articles qui sont réunis sur cette page. 

Il faut tout d’abord rendre hommage à Gérard BIZE qui est l’auteur de cet historique ; il a passé de nombreuses années sur la base de Toul et après la fermeture définitive, il a continué de la faire vivre dans un premier temps en créant un site dédié “TRAB 136” puis en écrivant. Avant de décéder au début de l’année 2017, il m’avait autorisé à publier l’histoire pour laquelle il avait consacré beaucoup de son temps. C’est donc son travail qui vous est proposé ; un grand merci à toi Gérard. 

Chaque article référencé ci-dessous correspond au temps de commandant des différents commandant de base qui se sont succédés à partir de 1958, date de la réouverture après le départ des Américains. L’immense majorité de ceux qui ont travaillé sur la base de Toul ont apprécié leur séjour ; on y accédait par une grande allée bordée de platanes et ensuite son architecture très américaine séparant bien les zones “OPS” et “vie”. Et puis, et surtout, il y avait la 11 ème escadre dont la base était le support et qui était si particulière. Dans un premier temps par son avion F100, avion américain “un avion d’homme”, puis est arrivé le mythique “JAGUAR” qui a acquis ses lettres de noblesse durant toutes les interventions extérieurs de 1977 à 1997. 

Mais ce qui frappait le plus au cours de cette période, était le fait que la base était à l’unisson de l’Escadre. Pour illustrer ce propos, juste une anecdote ; un adjudant de la solde est monté de sa propre initiative sur la base un dimanche car il avait entendu dire qu’il y avait une alerte “OPEX” et qu’à ce titre son service devait fournir une avance sur frais de déplacement à ceux qui partaient.  Dans sa hâte de ne pas vouloir être en retard, cet adjudant était sorti de la route avec son véhicule juste après le carrefour des “Quatre vents”.  Il a terminé à pied pour apprendre qu’en fait cette alerte n’était pas réelle (même pas fictive du tout). Il n’a pas fait mention de cet incident qui n’a été connu que bien des mois plus tard ; aucune plainte et aucun regret de sa part. 

Cette histoire ne demande qu’à être complétée et à vivre. Si vous avez une histoire à raconter, une anecdote, des photos… n’hésitez pas à me les envoyer, je les insérerai.